Baker Hughes (BH) est une entreprise parapétrolière comptant plus de 80.000 employés.

BH a connu un certain nombre de changements ces trois dernières années. En commençant par la fusion avec General Electric Oil & Gas (GEOG) puis leur séparation par la suite. Comme, Jason Olsen, ingénieur sénior l’a précisé:

“Le travail qui nous attend est colossal, mais aussi à la fois passionnant afin de définir à quoi nous voulons ressembler et comment doit-on faire pour atteindre nos objectifs”

Paradoxalement, l’équipe de Jason Olsen avait un avantage majeur: grâce à la fusion, celle-ci “avait une meilleure compréhension de ce qu’il fallait faire pour se séparer de General Electric”

En juillet 2017, l’entreprise Baker Hughes International Inc.(BHI), a fusionné avec General Electric Oil and Gas (GEOG) pour devenir Baker Hughes, une entreprise appartenant au groupe General Electric (BHGE). Cette fusion a apporté de nombreux avantages, notamment     “l’accès à l’impressionnant pouvoir d’achat de GE, à son infrastructure informatique, à ses nouvelles technologies ainsi qu’à ses processus commerciaux”.

Malheureusement, les deux organisations fonctionnaient de manière différente. En effet, l’infrastructure sous-jacente de GE devait suivre les normes du groupe BHGE comprenant les ordinateurs, serveurs, réseaux ainsi que la gestion des utilisateurs et des systèmes de ressources humaines.

“Les défis auxquels nous étions confrontés étaient importants: presque chaque fois, il y avait deux options entre nos mains: adopter la stratégie BHI ou celle de GE.”

Ces différences de stratégie portent notamment sur la manière dont les utilisateurs accèdent aux systèmes numériques et s’y engagent: l’autonomisation, la budgétisation des coûts des logiciels ou de la maintenance, utilisation de serveurs classiques ou le cloud, etc.

Bien qu’aucune option ne soit mauvaise, les problèmes existaient et devaient être résolus. Cependant, d’autres événements ont rapidement pris le dessus.

• Quantifier l’utilisation des outils, leur emplacement ainsi que leur accessibilité et le temps utilisé sur chacun des logiciels. 
• Agrégation de l’utilisation des données à l’échelle de l’entreprise sur tous les réseaux/systèmes pour améliorer la visibilité et les rapports, l’analyse de la taille des pools, etc. 
• Réduction des coûts administratifs- agrégation des données grâce à l’optimisation de la taille des pools (plus la quantité offerte), y compris les licences site/région et licence globale.
• Réduire le renouvellement des licences, l’agrandissement du pool pour limiter les coûts en exploitant l’économie d’échelle regroupant les dépenses annuelles par éditeur de logiciels, suivre les coûts des projets, etc.
• Cessions et acquisitions – meilleure visibilité et compréhension des pools et de leurs capacités, tout en assurant leur conformité.

• Un déploiement cohérent: la gestion active des logiciels, le traitement des refus de services et la notification automatique de l’interruption des logiciels en marche.
• Contrôle d’accés – limiter l’utilisation à certains utilisateurs et verifier la présence d’utilisation non conforme à la politique gérée par l’administrateur.  
• Un accès facile aux logiciels en utilisant la libération des sessions inactives et non utilisées ainsi que pour le redémarrage des services donnés par les licences.

Lorsque Baker Hughes étudiait l’utilisation des licences, un employé de GEOG a mentionné l’existence d’OpenLM.

GEOG a installé OpenLM sur un compte SolidWorks comptant 500 utilisateurs afin de gérer et de calculer l’effet financier au sein d’un grand groupe commercial. Ainsi, OpenLM a permis d’économiser 120 000 $ sur les coûts de renouvellement du logiciel SolidWorks et, suite à leur recommandation, l’équipe BH a décidé d’adopter OpenLM.

“Open LM s’est avéré être le meilleur choix en raison des résultats et du support client proposé”

BH a par ailleurs appliqué OpenLM au logiciel Ansys

Du 6 mai au 6 juin, BH a évalué leur produit “Ansys Mechanical”

““…un paquet onéreux, nous possédons 79 licences disponibles”.”

•  6 mai – les 79 licences étaient utilisées (79/79).
• 7 mai – Ansys a fourni une “extension temporaire” de 25 licences. Toutes furent utilisées (104/104).
• 12 mai – Pour améliorer sa capacité maximale, Ansys a ajouté 475 licences supplémentaires dans le pool temporaire (138 sur 500 ont été utilisées).
• 20 mai – Durant le plus grand pic d’utilisation, 155 licences furent utilisées (155/500). En moyenne, environ 130 ont été utilisées:

“…Pour provisionner la différence entre 79  et 130 – il faudrait un surcoût d’environ 2,7 millions de dollars”

• 22 mai – les utilisateurs sont informés des changements de provisionnement. La capacité maximale concurrentielle a diminué de 155 à 140.
•  6 juin – les utilisateurs ont été contraints à libérer les licences monopolisées par les sessions inactives; le pic d’utilisation fut alors réduit de 90 à 100 (sur 500).

“...cela représente un écart d’environ 17 licences…représentant une réduction des coûts d’environ 1,7 million de dollars par rapport à  ce que nous aurions dépensé si nous avions considéré uniquement l’utilisation maximale””

Comme l’a rappelé Jason, “notre objectif est d’obtenir toutes nos licences surveillées avec OpenLM”